Après avoir pu grappiller quelques mois supplémentaires, l'entreprise est à nouveau suspendue à la décision du tribunal de commerce de Bobigny, qui doit intervenir le 6 mai. Une précédente audience a eu lieu le lundi 28 avril où plusieurs repreneurs potentiels sont venus présenter leur projet. Les projets de reprise concernent l'activité mais pas les murs, et la sauvegarde d'environ 25 salariés, dans le meilleur des cas.
Malheureusement, à quelques jours de la décision du tribunal, il semble que les repreneurs se réduisent à une peau de chagrin : l'un d'entre eux, un Bordelais associé à un Parisien, envisage de retirer son projet en raison « d'un outil industriel » aujourd'hui vidé de sa substance et de ses doutes sur la viabilité du site périgourdin. Quant au carnet de commandes, l'activité ne semble pas surcharger l'atelier de la zone des Mauries.
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