Classant Spirica dans la 2e catégorie, il explique que les fintechs "correspondent à un maillon qui manque aujourd'hui dans l'assurance-vie et qui concerne l'allocation d'actifs. C'est la capacité à offrir à un client ce qui correspond à la fois à son appétence au risque, à ses objectifs, et faisant en sorte que la performance financière attendue soit maximisée par des outils intelligents." Daniel Collignon fait ici référence aux robo-advisors, systèmes automatisés de gestion de portefeuille qui représentent selon lui l'avenir de la distribution de produits d'assurance-vie et qui permettraient de mieux toucher la cible des jeunes adultes.