Isabelle Arnaud-Despréaux estime que les opportunités de croissance sont plus grandes aujourd'hui qu'il y a quelques mois et que les banques n'ont pas freiné, même si elles sont plus exigeantes sur les ratios de solvabilité. Elle confie également voir apparaître un début de bulle spéculative pour certains métiers du numérique et déplore "l'effet moral" de certains chefs d'entreprise et leur trop grande prudence.