Exploitant une technologie développée par le passé à l'Inserm et à l'université de Bordeaux, celle de la bio-impression, Poietis marie la culture cellulaire au numérique en utilisant aussi les technologies laser pour fabriquer les tissus.
Dans ce domaine de forte concurrence, il explique la stratégie de l'entreprise qui a déposé ses premiers brevets aux Etats-Unis et aux Japon, les deux principaux marchés notamment dans le domaine de la médecine régénératrice qui constitue la première vocation de l'entreprise qui est d'abord partie dans les applications du domaine de la cosmétique et de l'industrie pharmaceutique.