
"J'imagine que le premier coup de pioche sera donné fin 2022 ou début 2023...", évalue Michel Ohayon, créateur et dirigeant de la Financière immobilière bordelaise (FIB) à Bordeaux.
L'homme d'affaires bordelais, qui a repris à Libourne le projet abandonné par la Financière Vauban de restructurer les casernes Lamarque et Proteau, qui formaient l'ancienne l'Ecole de sous-officiers de la gendarmerie (Esog), était ce mercredi 13 janvier dans la cité libournaise. Pour une intervention très officielle, qui s'est faite en présence du maire (PS) de Libourne, Philippe Buisson, de l'architecte Michel Pétuaud-Létang, dont Michel Ohayon est très proche, et de Jean-Philippe Le Gal, 2e adjoint délégué au projet urbain "Libourne 2025".
Sept hectares en centre-ville
La reprise de l'ancienne Esog à Libourne, dont le site s'étend sur sept hectares en plein centre-ville, est en soi un projet pharaonique sur lequel la Financière Vauban, à Tournai (Belgique), s'est cassée les dents, et qui a été repêché par Michel Ohayon. Ce dernier a fait connaître son intérêt pour le dossier il y a deux ans et c'est Philippe Buisson qui l'a fait savoir, en pré-officialisant l'accord dans un tweet en juin 2019.
Dans le dossier de la reconversion des casernes de #Libourne en pôle hôtelier et touristique, j'ai annoncé ce matin que la Financiere Immobilière Bordelaise de Michel Ohayon allait se substituer à la Financière Vauban de Xavier Lucas. #intercontinental ?
— Buisson Philippe (@phbuisson) June 18, 2019
Une présentation officielle retardée par la pandémie
Le maire de Libourne a rappelé que la fermeture par l'Etat de l'Esog, en 2009, avait marqué un virage difficile à négocier dans cette...
Réagir