
Que serait un CES sans ses jouets asiatiques mi-amusants, mi-inquiétants ? Ces sortes de peluches animées sont censées stimuler l'enfant dans ses apprentissages à la maison.
Un peu plus loin, une autre firme asiatique propose des robots modulaires, toujours à destination de l'enfance. Les différents blocs s'assemblent aisément et peuvent donner naissance à des univers très riches... au prix d'un peu d'imagination et de beaucoup de temps.
Le sport tient une place importance. De nombreux stands proposent aux visiteurs de s'exercer au maniement de la batte de base-ball...
... à la crosse de hockey grâce à la réalité virtuelle...
... au tennis, grâce à un mur digitalisé qui envoie la balle une première fois et permet ensuite au sportif de poursuivre l'échange en calculant la trajectoire de la balle...
... et à la boxe, grâce à un sac de frappe qui bouge de manière aléatoire et qui prodigue des conseils et des consignes en temps réel.
Envie de planer de manière tout à fait légale ? Un simulateur de vol en réalité augmentée est couplé à une assise qui bascule au gré des mouvements de l'utilisateur. Le concepteur de l'engin certifie un effet bénéfique sur le corps, une sensation d'immersion totale et un côté ludique prononcé.
Partout, on retrouve des montres connectés bardées de fonctions. La société française Withings n'y manque pas elle non plus.
Un drone-selfie dont chacun pourra juger de l'utilité. L'appareil est téléguidable grâce à son smartphone et prend photos et vidéos. Ses concepteurs font en tous cas la promotion d'une utilisation en milieu industriel.
Autre star de l'espace marketplaces avec les montres connectées, les fauteuils de massage. Certains sont même vendus comme capables de masser... le cerveau. Les plus friands d'automobile se tourneront vers ceux-ci, inspirés du design des voitures Lamborghini.
Les fabricants n'ont pas lésiné sur les moyens pour faire tester leurs fauteuils.
La Poste est très présente au CES et cherche à montrer qu'elle ne se limite plus à un distributeur de courrier et à un logisticien, comme le prouve notamment ses incursions dans la santé.
Un vaste espace est consacré... au sommeil. Les sociétés rivalisent d'imagination, comme ici le Français Dreem, pour le garantir le plus apaisé... et connecté possible.
Tester un fauteuil électrique est aussi possible au CES, parcours avec obstacles inclus pour pouvoir juger de sa maniabilité.
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