Quand Opali tape au carreau de la franchise

Par Pascal Rabiller  |   |  150  mots
Opali envisage de déployer son offre de service de nettoyage de vitres pour particuliers par le biais, notamment, d'une franchise
Après avoir testé avec succès dans le Bordelais son concept de nettoyage de vitres pour particuliers, le fondateur d'Opali souhaite déployer sa marque au national, via une franchise.

Ex-banquier devenu entrepreneur dans le secteur du service à la personne, le Bordelais Bruno Cahuzac a identifié et investi, en 2008, un marché potentiellement plus porteur et rentable : le nettoyage des vitres des particuliers.

Localement, Bruno Cahuzac s'est fait une place rapidement sur ce marché en réalisant une opération de croissance externe, le rachat d'un concurrent bordelais : Vitradom. Après avoir testé le concept Vitradom-Opali, Bruno Cahuzac veut maintenant le décliner sous la forme d'une franchise. Les candidats devront s'acquitter d'un droit d'entrée de 15.000 € en échange d'un contrat renouvelable de 9 ans avec une redevance d'exploitation forfaitaire.

A ce jour, Opali (3.000 clients à Bordeaux), n'a pas encore signé de contrat de franchise mais développe son réseau de succursales, notamment à Toulouse où il en compte trois aujourd'hui. D'ici la fin de l'année, deux nouvelles succursales devraient voir le jour ainsi que les trois premières agences franchisées.